Mus par un féminisme qui n’appréhende la sexualité que sous le prisme du traumatisme, nous n’aurons bientôt, tout simplement, plus envie de faire l’amour !
Si le sexuellement correct prescrit le grand jouir comme condition du bonheur sur terre, affirme Jean-Philippe
de Tonnac¹, il fallait bien imaginer qu’un mouvement de dissidence d’une très grande ampleur finirait par se mobiliser, par se séparer du troupeau, emportant peut-être avec lui quelque chose d’une contre-expérience ou d’une nonexpérience de la sexualité, qui nous permettrait de tempérer la hideuse caricature ambiante.
Par Agathe André - Illustrations Roy Lichtenstein


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