Rogliano, « trois villages bâtis sur trois éperons de montagne, au-dessus d’une conque verte, immense, tout en forêt et qui s’ouvre au loin sur la mer », apparut à René Bazin surtout admirable dans son maquis « intact, épais », dont « le parfum de ses écorces et de ses fleurs souffle autour des maisons, qui sont blanches, et souvent belles ». Le récit de son excursion de trois jours – publié dans ses Promenades en Corse – dans le Cap Corse nous vaut une incomparable description d’ensemble et de détail d’une veine impressionniste. Ce fragment, pour accompagner notre portfolio, nous met dans son premier regard.
B.S. Photographies de Rita Scaglia