« Les villes que je traverse sont mes ateliers. »
Entre la Corse et le Continent, le travail d’Amalia Vargas puise aux sources d’une modernité virulente pour mieux déjouer les conventions et continuer à penser l’art comme un terrain d’exploration. À l’occasion de l’exposition au FRAC Corsica de toiles modifiées dans le cadre d’un atelier mené au sein de l’école primaire de Velone-Orneto, elle s’entretient avec Fabien Danesi sur les enjeux de sa pratique à la fois sérieuse et espiègle.
Photos : D.R.