« Tout commence et finit par le récit de l’enfance. »
Comment arpente-t-on un territoire, que l’on pensait connaître, et qui se révèle tout autre ? Quelles sensations, quelles émotions plutôt nous altèrent au moment où nous-mêmes traversons temps et espaces ancrés dans l’histoire, tissés d’histoires souvent insignifiantes et pourtant ? Quelles traces ces histoires laissent-elles de leur lecture, chaque pas, chaque mot nous rapprochera-t-il de ce qui tarde à donner son nom, de cet éclairement tant voulu ? Stefanu Cesari publie Peuple d’un printemps / Populu d’una branata aux éditions Éoliennes.
C. S. Photos Rita Scaglia