C’était un peu la maison de Tino Rossi, le prince Rainier et Grâce Kelly y eurent leurs habitudes. Jean-Jacques Lovichi, le nouveau propriétaire de la Dolce Vita, a doté son établissement d’une vraie modernité, celle que seule la mémoire inspire. Mémoire d’une intensité qui donne toute sa profondeur à l’espace, ce luxe absolu qui définit l’enseigne emblématique de la route des Sanguinaires. Le chef d’entreprise a bénéficié notamment du soutien financier de la BPMED. Un choix stratégique de l’établissement bancaire qui s’implique dans une économie patrimoniale.
Par Constant Sbraggia - Illustrations : Marianne Tessier